Forêts tropicales : « La reconnaissance des droits communautaires fonciers est un rempart vertueux contre la déforestation »

Vouloir préserver la biodiversité au sein d’aires forestières tropicales sans y associer les communautés locales et autochtones qui y habitent n’est ni juste ni efficace, affirment, dans une tribune au « Monde », le géographe Christian Kull et l’écologue Jacques Tassin.

Même présumées primaires, les forêts tropicales ne sont jamais vides. Le drame est que, bien souvent, c’est précisément la précarité humaine qui les habite. De manière générale, plus de la moitié des personnes vivant dans des aires d’intérêt biologique remarquable relèvent de régions humainement déshéritées.

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Publiée : 18/04/2023